pour dormir attendre la fin du bruit des étages cris pleurs rires indistinguables les murs tremblent aux descentes d’escalier cavalcade fuite jeux indistinguables jamais je ne sortirais pour comprendre jamais je ne comprends
par la fenêtre ouverte pourraient un salut un pavé sur la branche noire un couple de tourterelles grises nuit des territoires d’où j’écris partout, d’ici me fusiller
encore le matin trouver son visage tête arrachée du matelas le visage penché en avant il tombe sur les pieds ramasser peau pommettes dents re constituer bonne figure retourner dans un brou ha! ha! épuisement bouches cannibales parler re parler voient-ils mon visage tombe en ruine