Les Faunes ....

 

L'Âne qui butine publie ma très brève histoire des Faunes : Mallarmé, Debussy, Nijinski

Les mains de Nijinski dans Le Faune


EXTRAIT : 

"Il y a Mallarmé en 1865 il est au commencement il a 23 ans et écrit le Monologue du Faune cent dix vers d’abstraction aigüe jusqu’à devenir l’Après-midi d’un Faune, églogue, ce mot il sonne dans ma tête sur ma langue églogue cent dix dodécasyllabes Inerte, tout brûle dans l'heure fauve s’inscrivent à la plume, Mallarmé trace ses vers sur une page blanche dansent ses mots se rencontrent se chassent, il y a un amour qui se déchire sur une page épaisse ça fait un bruit de rumeur de raisin écrasé les cheveux des nymphes s’entrelacent dans l’encre de Mallarmé la poésie s’écrit de toute part c’est l’heure brûlante du Faune."


Les Faunes..., 33 exemplaires. Reliure main, couture à la japonaise.

Sur le site des éditeurs.

















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