Le miroir
Tout était là au sommet,
l’édifice la citadelle le royaume tu touchais les dieux alors tu étais dieu alors l’effondrement
si puissant si visible
fabrique la charnière, à cette charnière vient
le silence
l’entrée dans le silence
le silence de protection
le silence des secrets le silence de sidération le silence honteux le silence
immobile
Silence d’effondrement des
silences insatiables
Vous effondrez et entrez
dedans
Il me tait
J’endigue alors j’enmots alors
je tiens à respect
Et c’est pourquoi tu danses
et c’est pourquoi j’écris