Bertillon



« Tu as une mine à te nicher
viens ! » d’ici je vois la mer je vois tout
le creux de toi avec du moi
en couche épaisse par-dessus
ton cœur court je l’entends vis plus fort
à te poursuivre sur la piste aux ressorts et
l’orchestre, écoute, improvise bis
la salle comble mes mains glacées
tout ce qui me rappelle par là je le
jette un pull effrangé un objet en forme
les notes aussi le chemin
je visse d’autres yeux
comme Bertillon échantillons de couleurs
verres qui me fixent me déshabillent
je deviens qui je veux






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