Impératrice
L’amour ses
habits neufs tu t’avances Impératrice dans tes habits neufs tu rutiles tu joies
à peine si tes bottines haut lacées touchent en bas tu voles sur les ailes des
regards rangés à gauche à droite de toi tu pavanes en habits neufs de soi de
joie brocards et ors tu scintilles pas à pas tu traces écris la route devant
toi nue si complètement nue fragile et proie ils te voient et tu crois et
tu vois aveugle sans rien sur toi