Carole


plq, Carole, 2018


Le jour commence à peine à poindre et les tourments et Carole. Chaque livre est une disparition il me faut disparaitre en Carole m’oublier, toute laideur polit au grain de Carole sa voix son teint l’air qui nimbe ses mouvements. Sa démarche m’éloigne de la confusion du réel ses chocs ses incompréhensions. Carole s’adapte elle m’adopte une lanterne au bout de ses mots éclaire l’intériorité de ma caverne de tripes. Carole la rassurante ne s’habille d’aucune déception il n’est qu’à voir lamour que Lenz lui voue. Lamour. Lenz. Carole. Le beau trio l’unique qui vaille ici l’écriture ne vacille pas affirme Lenz laime Carole malgré cet inexplicable départ l’immobile des lettres sur la page. Rien ne m’est dû tout m’est don, Carole Lenz lamour je vous emprunte vos sourires les lisse sur mon visage de travers mes mots écrivent droit derrière vos talons je vis un peu plus large je vois une géographie habitable les murs de votre maison érigés sur ma table par un bienheureux hasard.




































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